Massimo aimait la littérature. Il avait lu les classiques, les contemporains, les avant-gardistes, les illisibles. Rien ne le rebutait. Il ne comprenait pas tout, mais son plaisir se nichait jusque dans l'olfaction, sentir l'odeur des pages qu'on tourne. Son aspiration profonde n'était rien moins que de pouvoir écrire à temps complet.