De toute façon, nul besoin de participer aux excursions : il suffisait d'accepter de regarder les photographies que l'un ou l'autre lui tendait avec une générosité toute particulière. Et c'était alors comme s'il avait vu de ses propres yeux les montagnes enneigées, les maisons rouges toutes simples et strictes, les ours blancs empaillés, les plaques d'égout, les trolls norvégiens.Tout ça était un peu pénible. Le soir, il fallait bien une bouteille pour se remettre - non pas de ses émotions, mais de leur absence.