Laurette Alexis-Monet, étudiante de 19 ans , qui n’est plus de ce monde aujourd’hui, s’était engagée dans la Cimade et avait découvert la réalité des camps d’internement français de la zone Sud, au moment des grandes rafles et déportations organisées par Vichy.
Elle avait pu en effet accéder au camp-hôpital du Récébédou 1 mois, la durée de son intérim. Dès le 5 septembre 1942, elle ne pouvait plus y pénétrer. Elle avait pris note de tout ce qui se passait pour garder la mémoire de ce camp et publia 59 ans plus tard son témoignage.