S’il fallait tout raconter des guerres, on n’en finirait plus d’étirer l’élastique. Ça vous grignote le cerveau, l’attente, c’est peut-être même le plus vache, avoir tout ce temps pour imaginer mille façons de mourir, conscient que la camarde vous cueillera forcément par surprise. C’est toujours plus rapide, brouillon ou sale que prévu.