De ceux qu’on aime, de ceux qu’on a aimés, il reste toujours quelque chose. Une sensation sur la peau, un petit rien qui palpite. L’amour est un oiseau, aussi fragile que capable de s’élever jusqu’aux astres. De ceux qu’on aime, de ceux qu’on a aimés, demeure toujours une lumière, pareil au soleil qui persiste sous les paupières quand on ferme les yeux.