Aujourd’hui, je me sens bien dans ma peau, mis à part que j’ai besoin de liberté. Quelque part en moi, j’ai gardé mon âme d’enfant et j’en ai assez de cette perpétuelle façade de femme mûre. Marre de cette perpétuelle mascarade… Car quand on gratte le vernis de cette vie parfaite, on découvre une femme peu épanouie. Moi.