[…] Les vêtements de O’Donnel étaient éparpillés partout dans la pièce. Son costard à mille dollars avait été arraché à son cintre et piétiné. Ses objets de toilette jetés partout.
La chambre de Dixon était dans le même état. Vide, mais saccagée.
Comme celle de Neagley.
Et de Reacher. Sa brosse à dents pliante était par terre, écrasée d’un coup de talon.
« Les salopards » dit-il.