J’ai étudié les photos, d’abord parce qu’elle était belle, et j’ai été étonné de constater qu’un appareil aussi bon marché que le Kodak jetable ait réussi à capter, malgré l’obscurité, ses tétons durcis sous son chemisier. Mais ensuite, je me suis remis à examiner les photos pour une toute autre raison. Quelque chose avait changé en elle au cours des deux derniers jours, et je n’arrivais pas à saisir ce que c’était.