Faut-il regretter le progrès au prétexte qu’il ne nous a pas apporté la perfection à laquelle nous croyons ? Mais la perfection n’existe pas. C’est un horizon, une ligne qui miroite, inatteignable mais vers laquelle on tend. Faut-il avoir peur du progrès parce qu’aujourd’hui on ne sait plus très bien ou il nous mène ?