L'Orient mythique de la féérie sexuelle devient donc, progressivement lieu de "débauche", et de "vice", à l'image de cette "Mauresque du Sud" dont le torse grossièrement dénudé et marqué de tatouages "à la légionnaire", ne laisse aucun doute sur ses activités, non plus que l'inscription manuscrite sous les seins de cette autre "Femme mauresque", sans doute "Mouquère de la rue de l'Echelle", - la rue "chaude" de la ville de Constantine.