Né en Lorraine en 2002, Léo MARCHAL a toujours été passionné par l’Histoire. D’abord par la Préhistoire, il rêvait de devenir paléontologue, pour aujourd’hui être étudiant en Histoire. Enfant solitaire, adorant les livres, l'imagination déjà féconde, il commença dès l’école primaire à écrire ses premières histoires. À l’adolescence il se mit véritablement à l’écriture en créant son propre univers. S’inspirant de ses lectures. La Chute de l’Atlore est son premier roman.
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Seuls cinq-mille humains étaient parvenus à s’échapper des Ugruks. Les autres furent tous massacrés et ne revinrent jamais dans la cité. Les survivants revinrent rapidement dans la capitale et les portes furent ouvertes dès qu’on les aperçut à l’horizon. Cinq-mille était à la fois beaucoup de personnes, mais en même temps, cela ne représentait qu’une maigre proportion de ceux qui étaient partis. Beartégol accourut vite aux côtés de sa femme et de cinq gardes du corps à la rencontre des soldats défaits.
Le départ des Ugruks put enfin avoir lieu. La tempête les avaient empêchés de prendre le large, car les vagues atteignaient par endroits six ou sept mètres de hauteur. Profitant de l'obscurité totale de la nuit, ils larguèrent les amarres et se dirigèrent vers l'Atlore.