Simon savait, à l’oreille, reconnaitre l’orgasme de sa chérie. Il décida de jouer avec elle encore un peu. Il réactiva ses caresses sur le clitoris enflammé, mais cette fois ci plus douces, plus espacés, juste ce qu’il fallait pour entretenir les braises d’une jouissance qui n’en finissait pas. Au bout d’un moment, elle clama sa défaite, implora qu’il mit un terme à ses souffrances, lui tira les cheveux, mais rient n’y fit : sa langue tournait doucement, mais surement au milieu des chairs brulantes. Elle ne pouvait s’y soustraire, il la tenait fermement, et elle jouit encore une fois dans un râle délicieux.
Quand il la reposa sur le canapé près de lui, elle le regarda, le souffle court, les yeux exorbités et articula difficilement ;
Oh… mon… dieu…