C’est un peu comme une chasse au trésor, j’ai l’impression d’être un archéologue à la recherche d’un immense savoir perdu. Je lis les tranches, les titres défilent. Il y a de tout. Beaucoup de romances, quand même. Des polars aussi. Des recueils de poésie. De la philosophie. De la politique. Ces derniers ne m’intéressent pas du tout. Alice n’en finit pas de m’étonner. Cette fille est comme une grande et belle poupée russe : chaque fois qu’on pense la connaitre, la comprendre, on découvre une nouvelle poupée, une nouvelle facette. Et je ne sais pas combien se cachent en elle.