La vue de ces vignes enveloppées dans du plastique me donne un sentiment d'horreur et m'obsède. D'autant plus qu'il m'est arrivé de faire quatre pas dans un vignoble enveloppé de la sorte: une espèce de canicule s'y met qui y stagne, qui vous étouffe. On finit par s'y croire près d'une apocalypse où, à la place du feu, des feuilles de plastique transparent descendraient du ciel pour couvrir le monde.