La lumière, la couleur (y en a-t-il, d'ailleurs?), les situations, les péripéties, les détails peuvent être siciliens et italiens; mais la substance (si elle existe) veut être celle d'un apologue sur le pouvoir dans le monde, sur le pouvoir qui, de plus en plus et graduellement, prend la forme obscure d'une chaîne de connivences, approximativement la forme de la mafia.