Cela la plaçait dans une situation compliquée : Boya n'avait pas le profil d'une deuxième épouse, encore moins celui d'une concubine. Selon la tradition, elle avait passé l'âge d'occuper l'une ou l'autre place. En outre, son tempérament s'accordait mal avec ces positions. Non qu'elle soit jalouse, cette émotion déstabilisante lui étant à ce jour inconnue. Simplement, il lui importait de recevoir ce qu'elle offrait, c'est-à-dire tout.