Je retournai dans le vestibule. Les présences que je sentais, de l'autre côté de la porte, me rassuraient. Les gens qui étaient assis au salon ne savaient pas que j'étais là, mais ils étaient comme ces spectateurs sur le quai, qui saluent le bateau au moment du départ et réconfortent le passager solitaire, même si leurs adieux ne s'adressent pas à lui.