Sa mère avait toujours abordé la question du sexe avec une franchise et un entrain excessifs comme quelque chose de bon pour la santé, genre aquagym. 'La joie du sexe' trônait sans complexe sur sa table de chevet comme un joli roman. Clementine se souvenait surtout du côté 'poilu' du livre.
Clementine voulait que le sexe soit quelque chose de subtil et de secret. Lumières éteintes. Mystérieux. Glabre.
(p. 188)