À l’euphorie succède la mélancolie, chez les caractères tourmentés. Il suffit d’un rien, d’un mot, d’une intuition, ou d’un imperceptible changement d’environnement, pour que ce genre d’individu se trouve perturbé, rongé par une angoisse indéterminée. Dans ces moments-là, quelque chose l’agace, mais il ne saurait dire quoi. Sa nervosité est telle qu’il serait capable de violence gratuite, mais en l’absence de bouc émissaire, la violence se retourne presque toujours contre lui-même.