Je tourne en rond comme un cheval de manège, je ne sais même plus pleurer, ça ne sert à rien de pleurer quand il n’y a personne pour vous consoler, et puis il y a les souvenirs, ces fantômes qui m’appellent, qui me font partir loin parfois dans mes pensées, et que j’aimerais suivre à jamais d’autres jours. (p.66)