Les pays pauvres coulent. Les autres aussi. Victime permanente de ces réformes, la très riche Afrique n’accède toujours pas à ses richesses, vampirisée qu’elle est par les multinationales. Les dégâts occasionnés à ces pays ont été reconnus. Le FMI a même admis que les mesures imposées à la Grèce étaient contreproductives, mais voilà, le mal est fait.