Ça me rend dingue ces expatriés, comme Klin, qui n'osent pas se mêler aux indigènes et restent dans leur petite tour d'ivoire. Pourquoi se déplacer jusqu'à Hanoï si ce n'est pas pour bouffer du xoi ruoc, transpirer à grosses gouttes, se prendre la crasse et le bruit des rues plein la gueule ? C'est ce que je préfère, moi. C'est ce qui m'intéresse.