...La mort.
Cette dernière a été, en l’adolescence de la fille, sa première relation, sa première fois, son plus grand amour, le plus douloureux, le plus passionnel, le plus destructeur. Elle a été son temps, son angoisse, sa menace… Entre le Vietnam et la France, entre l’enfant qu’elle était et la femme qu’elle allait devenir, entre les accidents et les choix, la mort se tenait debout,noire, opaque, inesquivable. Elle était son parfum, sa liaison secrète, son bourreau, sa raison de ne plus être.(146)