Peut-être est-ce ainsi que l’on passe à côté de sa vie, à croire aux choses que l’on a sous les yeux, sans savoir qu’elles ne sont que les reflets de nos désirs, l’illusion pure d’une envie. Mais l’envie se fatigue au contact de l’âpre réalité, comme un nuage que l’on aurait trop frotté contre une pierre, alors l’homme, l’objet, la femme apparaît dans sa triste exactitude.