Je n’insisterai pas trop là-dessus. Disons seulement qu’il ne vous faudra pas longtemps avant de penser que je suis un vrai con. Ou du moins un connard.
En fait, je ne crois pas être un con, parce que le con de base a peu de chances d’être conscient de son état (combien de cons savent-ils qu’ils le sont ?). Ce que je veux donc souligner, c’est que je me suis conduit comme un con en certaines circonstances, je ne fais pas partie de la confrérie. Je comprendrai toutefois que vous ne soyez pas convaincu.
Quand vous en aurez fini avec cette histoire, vous risquez de penser : Bon sang ! Zack Walker, quel gros con !