Le général Mladic allait prendre sa retraite quand la guerre a éclaté, il aimait sa femme, chérissait ses deux enfants, et ses abeilles, n’avait jamais frappé personne, et cependant il va donner l’ordre de bombarder un samedi matin le marché de Markale, sachant que s’y trouvent à ce moment-là des femmes et des enfants et commettant ainsi le plus épouvantable des massacres. (page 275)