Mes enfants aiment savoir si je suis « content », ils ne demandent surtout pas à en savoir plus et je n’ai pas envie de leur en dire plus, nous sommes aussi pudiques entre nous que je suis impudique dans mes livres – qu’ils disent ne pas lire et dont ils ne se cachent pas d’être gênés. En revanche, ils sont désarçonnés et catastrophés s’ils me savent « triste ». (page 310)