Que pensait secrètement Mihail d'un Cioran, d'un Eliade, d'un Petrescu ? Je crois qu'il se serait méprisé de leur en vouloir, d'éprouver de l'amertume, et que pour se garder de ces sentiments misérables il avait choisi d'en faire des personnages de son œuvre à venir.
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