La nuit était synonyme de vieilles terreurs et de peurs nouvelles, le subconscient malmené par tous les mauvais traitements reçus. Certains gamins se réveillaient en pleurant. En hurlant. Et d’autres se réveillaient prêts à en découdre. Se battre ou s’enfuir. Tout le monde n’était pas fait pour la fuite.