Les fausses couches étaient monnaie courante dans notre district et les femmes n'étaient pas censées y attacher une grande importance, surtout s'il s'agissait d'une fille. Quant à la mort d'un nouveau-né, elle ne s'avérait dramatique que si l'enfant était un garçon. Dans le cas contraire, les parents étaient le plus souvent soulagés : cela ferait une bouche de moins à nourrir.