Un rien m’angoisse, sortir me fait peur, je ne supporte plus de ressentir les émotions des autres et encore moins les miennes. Pour l’instant, je ne veux pas chercher le déclic de ma chute. Je n’en ai pas la force, même si Grand-père, psychiatre réputé, me serine que la réponse est en moi. Je préfère avancer à mon rythme. J’ai sûrement tort, mais je m’en fous.