Combien de fois Madhu l'avait vue de ses propres yeux se lever brusquement et se mettre à danser, presque en riant, comme si pour elle ce n'était qu'un jeu. Alors, jambes écartées, genoux à moitiés pliés, debout, les bras ouverts, elle ressemblait à une sculpture de Pârvatî. Dans cette pose, le vagin ouvert, son corps semblait sucer la sève vitale qui sortait de terre. Alors, dans l'esprit de Madhu on célébrait en un temple céleste un sublime culte vespéral avec cloches et cymbales.