À l’instant où j’avais appris sa mort, Lucia m’était apparue en pensées telle une rose, une belle et magnifique rose, mais qui venait de faner. Alors je m’étais approchée pour étreindre la fleur de ma main, comme pour la consoler de sa fin, et seuls ses pétales grenat, encore soyeux, m’étaient restés entre les doigts.