Ses pleurs n’étaient que pour les autres
Et ses malheurs étaient les nôtres,
Il en répandait un torrent,
Comme le ruisseau des montagnes
Coule en inondant les campagnes,
Et n’avait de soulagement
Qu’en calmant des maux dont la vue
Faisait saigner son âme émue.
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