A Toronto, on ne voit pas les étoiles. Raison suffisante pour ne pas y habiter. On lève les yeux. Pas d’étincelles. Pas d’éclats. Pas de scintillements. Les traînées laissées par les avions à réaction n’exaucent pas aussi bien les vœux. Et quand on est en quête d’inspiration poétique, on se rend vite compte que rien ne rime avec « hélicoptère ».