— Tu es un gros tas de stress ambulant.
Je me collai à lui et l’embrassai sur la joue.
— Et je ne veux pas dire gros littéralement, pas la peine de commencer à paniquer sur ton poids aussi. Même si ça n’aurait aucune importance, je t’aimerais même si tu ressemblais à une dame hippopotame enceinte.
Ses muscles commençaient doucement à se détendre.
— On ferait la paire. Laurel et Hardy pour de vrai, dit-il avec amusement.
— Ou bien Hardy et Hardy. J’ai pris deux kilos depuis Noël.
— Où tu les as mis ? demanda-t-il en retirant un bras de sous sa tête pour m’en entourer. Tu es maigre comme un chat des rues.