Jamais je n’avais ressenti une si grande frayeur. Si grande que, essayant de m’échapper, je commençai par tomber, me relever, et tituber pour créer une distance entre nous. Et alors que je tournais ma tête vers le reste du groupe, je réalisai que nous n’étions plus que trois : Suzanne, Xavier et moi…Tous les autres s’étaient déjà enfuis.