S'il arrive que je divague, loin des tempêtes à présent, des avalanches, du mauvais sort, c'est d'avoir trop raclé ma tête dans tous les bastringues des pourtours, d'avoir trop fendu la camelote avec mon tarin, à vif, dans toutes les pistes au galop, de tous les manèges au 16ème, au petit bonheur des biques folles, à la frénésie chevaline. Je me suis senti battant de cloche pendant des années, le crâne en gong pour ainsi dire. Je titube encore de la mémoire. Je peux plus voir un cheval en peinture !