Ce quart de l'aube m'apparaît à la fois familier et sensible à côté de son prédécesseur, trop facilement romantique, et de son successeur si banal - familier par notre tenue et nos causeries que nul exercice n'interrompt, sensible par sa variété.
Son obscurité elle-même, si longue soit-elle, est sans lien avec le reste de la nuit. Ce n'est plus qu'une éclipse dont à la seconde près, nous calculons la fin....