Certes, Cripure aimait son pays, et cet amour de la patrie était peut-être en lui la chose la moins falsifiée. Mais enfin, cet amour de la patrie, il ne fallait pas le confondre, comme le faisait Babinot, avec l’amour des militaires, ou comme tant d’autres, avec l’amour de la mort. Il ne fallait surtout pas le confondre avec un plat acquiescement au conformisme des autres.