Il avait attrapé la piqûre et à la chasse suivante son sang se remettait à bouillir. Il comprit, non sans surprise, que tuer ces mastodontes puis abandonner la carcasse pratiquement intacte aux loups et aux corbeaux ne lui causait guère plus de problèmes de conscience que d’abattre un merle des montagnes.
(Boréal, p.331)