Peu de temps après, un autre prétendant se présenta au château.
C’était le fils d’un roi de Caramanie ; il était beau, élégant : un peintre n’eût pu tracer figure plus intéressante. C’était en outre un savant et un poète renommé. Il apportait aux parents des présents magnifiques en argent massif ; il déposa aux pieds de la belle Zora une couronne de lauriers qui lui avait naguère été décernée dans un grand concours de poésie.
LA FILLE DU DOGE(CONTE DALMATE)