C’est surtout dans la coupe, Môsieur que le vrai feuilletoniste se retrouve. Il faut que chaque numéro tombe bien, qu’il tienne au suivant par une espèce de cordon ombilical, qu’il inspire, qu’il donne le désir, l’impatience de lire la suite. Vous parliez tout à l’heure. L’art, le voilà. C’est l’art de se faire désirer ; de se faire attendre.