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Vidéos de Louise Colet (5)
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Louise Colet, son récit de la Commune dans l'Anarchie des esprits aux éditions ardemment
videos29 avril 2022
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« Une anthologie de femmes-poètes ! - Eh oui, pourquoi pas ?
[…]
On a dit du XIXe siècle que ce fut le siècle de la vapeur. le XXe siècle sera le siècle de la femme. - Dans les sciences, dans les arts, dans les affaires et jusque dans la politique, la femme jouera un rôle de plus en plus important. Mais c'est dans les lettres surtout, - et particulièrement dans la poésie, - qu'elle est appelée à tenir une place considérable. En nos temps d'émancipation féminine, alors que, pour conquérir sa liberté, la femme accepte résolument de travailler, - quel travail saurait mieux lui convenir que le travail littéraire ?! […] Poète par essence, elle s'exprimera aussi facilement en vers qu'en prose. Plus facilement même, car elle n'aura point à se préoccuper d'inventer des intrigues, de se créer un genre, de se faire le champion d'une idée quelconque ; - non, il lui suffira d'aimer, de souffrir, de vivre. Sa sensibilité, voilà le meilleur de son imagination. Elle chantera ses joies et ses peines, elle écoutera battre son coeur, et tout ce qu'elle sentira, elle saura le dire avec facilité qui est bien une des caractéristiques du talent féminin.
[…]
Et puis, au moment où la femme va devenir, dans les lettres comme dans la vie sociale, la rivale de l'homme, ne convient-il pas de dresser le bilan, d'inventorier - si l'on peut dire, - son trésor poétique. Les temps sont arrivés où chacun va réclamer le bénéfice de son apport personnel. […] » (Alphonse Séché [1876-1964])

« Il n'y a pas de poésie féminine. Il y a la poésie. Certains et certaines y excellent, d'autres non. On ne peut donc parler d'un avenir spécial de telle poésie, masculine ou féminine. La poésie a toujours tout l'avenir. Il naîtra toujours de grands poètes, hommes ou femmes […]. Où ? Quand ? Cela gît sur les genoux des dieux, et nul ne peut prophétiser là-dessus.
[…]. » (Fernand Gregh [1873-1960])

0:00 - Pauline de Flaugergues
0:52 - Clara Francia-Mollard
1:36 - Madame de Girardin, née Delphine Gay
3:43 - Élisa Mercoeur
5:27 - Louise Colet
6:33 - Hermance Lesguillon
9:20 - Louise-Victorine Ackermann, née Louise-Victorine Choquet
10:23 - Générique

Référence bibliographique :
Alphonse Séché, Les muses françaises, anthologie des femmes-poètes (1200 à 1891), Éditions Louis-Michaud, 1908

Images d'illustration :
Clara Francia-Mollard : https://gallica.bnf.fr/blog/07102021/clara-francia-mollard-1804-1843?mode=desktop
Madame de Girardin, née Delphine Gay : cf. "Référence bibliographique"
Élisa Mercoeur : cf. "Référence bibliographique"
Louise Colet : cf. "Référence bibliographique"
Hermance Lesguillon : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hermance_Lesguillon#/media/Fichier:Hermance_Sandrin.png
Louise-Victorine Ackermann, née Louise-Victorine Choquet : cf. "Référence bibliographique"

Bande sonore originale : Arthur Vyncke - Uncertainty
Uncertainty by Arthur Vyncke is licensed under a CC BY-SA 3.0 Attribution-ShareAlike 3.0 license.

Site :
https://www.free-stock-music.com/arthur-vyncke-uncertainty.html

#PoétessesFrançaises #PoèmesDeFemmes #LittératureFrançaise
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videos22 avril 2021
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RÉGIS JAUFFRETLE DERNIER BAIN DE GUSTAVE FLAUBERT
Rencontre animée par Marie-Madeleine Rigopoulos

« Conçu à la mi-mars 1821 d'un coup de reins que j'ai toujours eu quelque peine à imaginer, je suis né le mercredi 12 décembre à quatre heures du matin. Il neigeait sur Rouen, une légende familiale prétend que ma mère se montra si stoïque pendant le travail qu'on pouvait entendre tomber les flocons sur les toits de la ville. Quant à moi, je serais bien resté quelques années de plus dans le ventre à l'abri de l'imbécillité du monde.

Désespéré de naître j'ai poussé un atroce hurlement. Épuisé par mon premier cri, je semblais si peu gaillard qu'on attendit le lendemain pour me déclarer à l'état civil car si j'étais mort entre-temps on en aurait profité pour signaler mon décès par la même occasion. »

Le 8 mai 1880 au matin, Gustave Flaubert prit un bain. Il décéda peu après dans son cabinet de travail d'une attaque cérébrale sans doute précédée d'une de ces crises d'épilepsie dont il était coutumier. Allongé dans l'eau, il revoit son enfance, sa jeunesse, ses rêves de jeune homme, ses livres dont héroïnes et héros viennent le visiter. Il se souvient d'Élisa Schlésinger, la belle baigneuse de Trouville qui l'éblouit l'année de ses quinze ans, de Louise Colet dont les lettres qu'il lui adressa constituent à elles seules un chef-d'oeuvre mais aussi de l'écrivain Alfred le Poittevin qui fut l'amour de sa vie.


À lire – Régis Jauffret, le dernier bain de Gustave Flaubert, Seuil, 2021.
+ Lire la suite
videos21 avril 2021
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RÉGIS JAUFFRETLE DERNIER BAIN DE GUSTAVE FLAUBERT
Rencontre animée par Marie-Madeleine Rigopoulos

« Conçu à la mi-mars 1821 d'un coup de reins que j'ai toujours eu quelque peine à imaginer, je suis né le mercredi 12 décembre à quatre heures du matin. Il neigeait sur Rouen, une légende familiale prétend que ma mère se montra si stoïque pendant le travail qu'on pouvait entendre tomber les flocons sur les toits de la ville. Quant à moi, je serais bien resté quelques années de plus dans le ventre à l'abri de l'imbécillité du monde.

Désespéré de naître j'ai poussé un atroce hurlement. Épuisé par mon premier cri, je semblais si peu gaillard qu'on attendit le lendemain pour me déclarer à l'état civil car si j'étais mort entre-temps on en aurait profité pour signaler mon décès par la même occasion. »

Le 8 mai 1880 au matin, Gustave Flaubert prit un bain. Il décéda peu après dans son cabinet de travail d'une attaque cérébrale sans doute précédée d'une de ces crises d'épilepsie dont il était coutumier. Allongé dans l'eau, il revoit son enfance, sa jeunesse, ses rêves de jeune homme, ses livres dont héroïnes et héros viennent le visiter. Il se souvient d'Élisa Schlésinger, la belle baigneuse de Trouville qui l'éblouit l'année de ses quinze ans, de Louise Colet dont les lettres qu'il lui adressa constituent à elles seules un chef-d'oeuvre mais aussi de l'écrivain Alfred le Poittevin qui fut l'amour de sa vie.


À lire – Régis Jauffret, le dernier bain de Gustave Flaubert, Seuil, 2021.
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eclairbrut03 juin 2020
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Louise COLET – "Déesse et Muse" : entretien avec son biographe (France Culture, 1986)
Un extrait de l’émission « Nuits magnétiques », par Laure Adler, diffusée le 25 novembre 1986 sur France Culture. Invité : Jean-Paul Clébert, pour sa biographie 'Louise Colet ou la muse'.



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