Nationalité : Canada
Né(e) à : Sorel , le 06/12/1948
Né(e) à : Sorel , le 06/12/1948
Biographie :
Louise Cotnoir est une poète, dramaturge et nouvelliste québécoise née à Sorel, le 6 décembre 1948.
Elle obtient un baccalauréat en études littéraires de l'Université du Québec à Montréal en 1972 et une maîtrise en sciences médiévales de l'Université de Montréal en 1977.
Elle enseigne la littérature au Collège de la Région de l'Amiante depuis 1973.
Elle a collaboré à plusieurs revues telles que Spirale, Lèvres urbaines, Estuaire, Livres et auteurs québécois, Room of One's Own, Sorcières et Osiris.
Louise Cotnoir est une poète, dramaturge et nouvelliste québécoise née à Sorel, le 6 décembre 1948.
Elle obtient un baccalauréat en études littéraires de l'Université du Québec à Montréal en 1972 et une maîtrise en sciences médiévales de l'Université de Montréal en 1977.
Elle enseigne la littérature au Collège de la Région de l'Amiante depuis 1973.
Elle a collaboré à plusieurs revues telles que Spirale, Lèvres urbaines, Estuaire, Livres et auteurs québécois, Room of One's Own, Sorcières et Osiris.
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Citations et extraits (5)
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Si délaissée
Que le jour n'a plus de raison
En pleine lumière
Tu admets l'évidence
Une phrase écorchée
OUI,J'AI MAL.
( Le jour n'a plus de raison)
-------------------------------------
Je voudrais être cette femme
Que l'automne surprend à sourire
Au milieu des mauves
Un baiser sur sa nuque
Avec pudeur je voudrais
L'âme son enjeu
Ou des parfums septembre
Sans la bile nauséeuse
Qui vomit la lumière
( Dis- moi).
Que le jour n'a plus de raison
En pleine lumière
Tu admets l'évidence
Une phrase écorchée
OUI,J'AI MAL.
( Le jour n'a plus de raison)
-------------------------------------
Je voudrais être cette femme
Que l'automne surprend à sourire
Au milieu des mauves
Un baiser sur sa nuque
Avec pudeur je voudrais
L'âme son enjeu
Ou des parfums septembre
Sans la bile nauséeuse
Qui vomit la lumière
( Dis- moi).
Tu dis n’importe quoi
Contre les musiques barbares
Tu imagines la neige
Dans ce lit de passage
Une poudre crayeuse
Sur des lèvres absentes
Tu dis n’importe quoi
Plutôt que mourir
Contre les musiques barbares
Tu imagines la neige
Dans ce lit de passage
Une poudre crayeuse
Sur des lèvres absentes
Tu dis n’importe quoi
Plutôt que mourir
Je ne redoute pas la solitude
Avec ses senteurs
Silhouettes aimées
Je voile le temps
D’un linceul si doux
Que le souvenir
Prend le blanchiment
De mes rêves
Avec ses senteurs
Silhouettes aimées
Je voile le temps
D’un linceul si doux
Que le souvenir
Prend le blanchiment
De mes rêves
Juste assez de désinvolture
Juste assez de musique
Pour que je sombre
Du côté de la lumière
Je cherche à éviter le doute
Au calendrier parfois
Le bonheur prend la forme
D’une lune pleine
Juste assez de musique
Pour que je sombre
Du côté de la lumière
Je cherche à éviter le doute
Au calendrier parfois
Le bonheur prend la forme
D’une lune pleine
Abandon
À ce goût inavouable
pour le corps du délit
Tu joues l’excessif
Des crayons des pinceaux
Au bout des doigts
Et des absences
Sans nom
À ce goût inavouable
pour le corps du délit
Tu joues l’excessif
Des crayons des pinceaux
Au bout des doigts
Et des absences
Sans nom
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