Tous ces gens accaparés par leurs lecteurs mp3 ou leurs téléphones, leurs journaux ou leur itinéraire sur le plan de métro affiché au mur, n'étaient finalement que des pantins à la recherche d'une échappatoire visuelle ou auditive, en tout cas émotionnelle. Et voilà qu'il était l'un d'entre eux, dévoré sans en avoir vraiment conscience par ce besoin de s'évader de la misère de ce monde si terne. Quelle fatalité.