Elle avait besoin de se mettre en condition. L'histoire avait déjà pris corps dans son esprit. Un tueur en série, bien évidemment ! Elle voulait accentuer le côté psychologique et ne pas s'en tenir aux descriptifs de meurtres sordides et sanglants. Retranscrire fidèlement l'angoisse et la peur des victimes par un vocabulaire adapté. Faire frissonner le lecteur.