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3.4/5 (sur 5 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Amboise , le 04/05/1866
Mort(e) à : Paris 16e , le 22/06/1913
Biographie :

Lucie-Rose-Séraphine-Élise est la fille du Président de la République Félix Faure , et de Berthe Belluot.
Elle et sa sœur Antoinette sont amies de jeunesse de Marcel Proust ; il est même question du mariage de Lucie et Marcel, mais le scandale causé par la mort de Félix Faure empêche ce projet.
Le 10 novembre 1903, Georges Goyau, âgé de trente-quatre ans, épouse Lucie Faure en l'église Saint-Honoré d'Eylau. Elle fonde la Ligue fraternelle des enfants de France, et publie un certain nombre d'ouvrages sous le nom de plume de « Lucie Félix-Faure Goyau », notamment une biographie d'Eugénie de Guérin.
Très croyante, la plupart de ses écrits portent sur des sujets catholiques.
Jurée du premier prix Femina, très cultivée, elle lit le latin, le grec, l'anglais ; elle voyage beaucoup et apprécie les œuvres d'art. Elle réunit un solide salon
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Source : Wikipedia
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Bibliographie de Lucie Félix-Faure-Goyau   (5)Voir plus

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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Ainsi notre sainte héroïne fut arrachée à son pays natal, et mise en face de cette civilisation qu'elle né semblait nullement préparée à s'assimiler. Pour comprendre le rôle et le génie de la sainte, cédons à la tentation de regarder, autour d'elle, la société pleine de contrastes violents à laquelle l'enfant thuringienne apportait son âme nostalgique et profonde.
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Les enfants dissocient très naturellement, ridée du luxe d'avec celle du bonheur. Ils comprendront plus tard que les enthousiasmes artistiques eux-mêmes ne doivent inspirer aucune jalousie l'égard des collectionneurs ou possesseurs d'œuvres célèbres. De notre façon de regarder un tableau dépend le droit que notre âme a sur sa beauté. Si cette beauté vient enrichir notre âme, peu nous importe de ne point avoir de galerie à enrichir.
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A travers la poésie et l'art des païens, nous cherchons le secret de leur âme, et peut-être heurterons-nous bien des jugements si nous disons que ce secret nous semble être celui d'une tristesse presque désespérée. Qu'elle nous fasse évoquer un fleuve d'amertume, bouillonnant et destructeur, ou le parfum subtil demeuré aux parois d'un de ces vases funéraires appelés lécythes et servant à l'ornement dos tombeaux, qu'elle s'épanche dans le cours d'une tragédie, ou qu'elle flotte autour d'une épitaphe, nous la retrouvons, nous la reconnaissons. N'est-elle pas l'essence même de la vie païenne? C'est aux formules laissées par la Grèce que nous allons le demander.
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Des faits réels, oubliés par l'histoire, perdus dans la nuit des temps, ou métamorphosés par la distance, vinrent peut-être se joindre à ces vagues et fantaisistes croyances. Le monde féerique est plein d'êtres bizarres: animaux qui parlent, géants épais, nains astucieux. Il est l'œuvre d'imaginations qui s'amusent à déformer l'aspect du monde, comme le font certains rêves, et sans y mettre plus de malice ; mais il n'est pas impossible, au moyen du reflet brisé ou dévié, de reconstituer la figure réelle de l'objet reflété.
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L'ordre et la beauté antiques, écrit M. Suarès, viennent de ce que le cœur manque ; c'est un art sans âme, moyennant quoi il est tranquille. Les enfants aussi ont la paix grecque : ils jouent dans la chambre où leur mère se meurt, et jusque sur le lit si on les laisse jouer. J'admire celle sérénité, et, malgré moi, je la méprise.
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Les fées, disent les savants ouvrages qui traitent de ces personnes indécises, sont des divinités d'ordre inférieur, et qui forment un imposant cortège. Elles représentent un amalgame de souvenirs mythologiques.
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Elle n'est point une déesse ; elle est une créature de rêve, mais tout imprégnée d'humanité, vivante, émue, pâlissante, et par-dessus tout, compatissante.
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Impassibles comme la nature, ou capricieux, vindicatifs et fourbes comme les pires des hommes, ces dieux riaient de même que le soleil brille.
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