Nous nous prenions pour les maîtres du monde, ceux à qui rien ne pouvait arriver. Plus nous avançons et plus nous avons cette fichue confiance en nous, vous savez, celle qui vous fredonne la chanson de la victoire avec un tel engouement que vous ne pouvez que lui faire confiance. Après tout, ce n’est pas si mal que ça d’avoir confiance en soi, d’avoir confiance en nous, néanmoins, qui pouvait être ce « nous », en réalité.