Elle se caressa tout doucement. Elle était seule et la pudeur était partie depuis bien longtemps en emportant toutes ces présences dans cette maison. Elle laissa libre cours à l’imagination de son autre main. Il ne lui restait que peu de chose. Le plaisir, bien que solitaire, ne devait pas se soustraire à cette envie d’amour, de se sentir aimé, désiré.